Un serpent sans dents. Le transformation conservateur de Jean-Baptiste d’Omalius d’Halloy (1783-1875)

Les historiens abstraits traitant de la théorie évolutive dans la période située entre la mort de Jean-Baptiste Lamarck (en 1829) et la publication de L’origine des espèces de Charles Darwin (en 1859) s’est principalement concentrée sur les radicaux évolutionnistes qui travaillaient dans la plupart des marges de la science ordinaire. Cet essai veut toutefois indiquer que dans la même période, un transformisme plus modéré (même conservateur) a été développé dans les centres de débats scientifiques bien respectés. Il le fait en se concentrant sur la trajectoire intellectuelle de la Belgique Jean-Baptiste d’Omalius d’Halloy, non seulement un géologue de la réputation européenne, mais également un aristocrate conservateur et catholique noté. Sur la base des documents archivistiques précédemment inutilisés, cet essai étudie comment D’Ombalius a développé ses idées évolutionnistes, à partir des leçons qu’il a emportées avec Lamarck au début du XIXe siècle et se termine par les dernières publications transformalistes qu’il publia 90 ans. -Old dans les années 1870. En outre, l’essai analyse comment D’Omalius a adapté les idées de transformiste de Lamarck à sa vision du monde personnelle et examine la tactique qu’il utilisait pour ouvrir un espace pour le débat d’évolution. De cette manière, cela montre un aspect largement inconnu de la transformation du transformisme dans la science du milieu du XIXe siècle.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *