Avec ses longs cils, des oreilles sous forme de banane, d’embouchons et de corps enrouée recouverts de laine bouclée, les flammes semblent des créatures qui sont sorties d’une histoire de Dr. Seuss. Et maintenant, ce sont des célébrités aux États-Unis, au Mexique et à d’autres régions du monde.
En raison de leur comportement amical et docile, les flammes sont généralement des favoris dans les zoos de compagnie. Ils apparaissent dans des festivals et des mariages et ont même été utilisés comme animaux de thérapie.
Les flammes ont également été des nouvelles médicales en 2020. Son système immunitaire produit des fragments de nano-serrés – petits fragments d’anticorps beaucoup plus petits que les anticorps humains – qui ont un potentiel en tant que traitements pour Covid-19.
Les scientifiques testent également des versions synthétiques de la nanoors de flamme en tant que technologies pour le traitement des maladies telles que la fibrose kystique.
mais il y a beaucoup de choses Plus que de savoir sur ces animaux captivants. Dans mon travail d’historien de l’Amérique latine, j’ai étudié sa longue relation avec les humains sur leurs terres d’origine montagneuse et andaine.
Ces interactions ont tout aidé liée aux flammes, de la longueur et de la couleur de votre La laine à votre disposition et vos habitudes de reproduction.
une lignée de chameau
Les flammes sont des descendants d’animaux connus sous le nom de Guanaco sauvage, qui étaient domestiqués en Amérique du Sud environ 4500 AC. Les flammes et le guanaco sont deux des quatre membres sud-américains de la famille des chameaux. Les autres sont l’alpaga et la vicuña, une espèce sauvage reconnue par sa laine douce.
Les éleveurs correspondent régulièrement aux flammes féminines avec des alpagas masculins pour créer des oiseaux de fièvre de la laine d’alpaga fine et précieuse. Les flammes mâles sont élevées avec des alpagas des femelles pour augmenter le poids de la laine.
Ces animaux étaient importants pour l’économie d’empire inca, qui a prospéré au Pérou d’environ 1400 à 1533. Les Incas ont utilisé leur laine pour faire les tissus, qui sont dupliqués comme une pièce de monnaie. Les animaux ont également fourni des marchandises de viande et transportées sur environ 25 000 milles de routes inca.
Mais les Incas n’ont pas vu les flammes et leurs proches seules comme des bovins. Ils étaient plutôt étroitement liés à la culture et aux croyances spirituelles de la région. Les Incas et les Preincas ont sacrifié des flammes et des alpagas dans des cérémonies religieuses pour promouvoir la fertilité dans leurs troupeaux. Ils ont servi la viande des animaux dans les célébrations parrainées par l’État d’honorer les dieux de la pluie. Et ils ont sacrifié et enterré ces créatures dans des terres nouvellement conquises pour légitimer la présence d’Inca.
La meilleure laine
Les archéologues ont des alpagas et des flammes momifiées au Pérou qui avait plus de mille ans . Les animaux avaient été sacrifiés et enterrés de perles, de laine et de morceaux d’argent.
L’analyse de ces spécimens parfaitement conservés a révélé les techniques de reproduction sélective de leurs manipulateurs. Ces animaux avaient une laine douce, ténue et rapide – plus fine que le meilleur cachemire actuel. Donc, ce qui est arrivé aux gènes qui produisaient une laine de qualité si haute qualité?
Ils ont disparu.
Après que les Espagnols prenaient le contrôle de l’empire Inca dans les années 1540, les dirigeants espagnols ont vu des flammes et alpagas comme des bêtes de cargaison ou de source de fontaine. Beaucoup d’animaux sont morts en raison de maladies introduites par les moutons et les bovins importés des Espagnols. Les Péruviens ont pris près de 300 ans pour atteindre l’indépendance et plus de temps à la reprise de la population des peuples autochtones andines et des pratiques de reproduction traditionnelles.
Pansement de flamme?
Aujourd’hui, il n’est pas rare de voir des flammes habillées de costumes colorés dans les carrés du public Les peuples. Il s’agit d’une tradition culturelle de longue date, qui symbolise le pouvoir, le respect et la révérence entre les peuples autochtones, en particulier en Bolivie et au Pérou. Par exemple, la danse Qhapaq Qharla, qui est célébrée chaque mois de juillet à Paucartambo, au Pérou, reconnaît les flammes et les pasteurs comme des parties puissantes d’une « cosmovision andine » ou de compréhension de l’univers.
Les cultures andines ont une cosmovision holistique qui couvre les humains, les plantes, les animaux, les terres, les rivières, les montagnes, la pluie, la neige et bien sûr des flammes. De nombreux andines associent des animaux avec des êtres surnaturels. Les pasteurs de la région d’Ayacucho péruvienne croient que leurs troupeaux de flammes et d’alpagas n’appartiennent pas à eux – ils appartiennent aux esprits «Wamani» qui résident dans les eaux ou dans les sommets des montagnes.
Créer que les flammes agissent comme un conduit essentiel entre les personnes et les wamani, et les pasteurs maintiennent ce lien avec des obligations rituelles qui impliquent souvent des animaux. Ils peuvent décorer des flammes, dissimuler les animaux ou «se marier» avec des flammes dans un lit de mariée. Les animaux docile coopérants dans ces cérémonies sont maintenus, reproduits plus longtemps et créent des générations futures avec des tempéraments calmes.
La flamme « moderne »
Les flammes sont arrivées pour la première fois des États-Unis dans le XIXe siècle, importé pour les zoos. En 1914, le maire de Buenos Aires a donné à la secrétaire d’État de l’État William Jennings Bryan, bien qu’il n’ait pas été autorisé à entrer dans le pays parce qu’il était infecté par une maladie de pied et de la bouche.
dans le Les années 1980, les flammes qu’ils étaient devenues des attractions de base dans des zoos de compagnie, des foires, des ranchs touristiques et des partis privés. Les éleveurs leur ont acheté pour effrayer les coyotes de leurs moutons. Le champ guide les flammes chargés des flammes lors de la réaction et les conduisit à des abrutis pour des aventures « emballages de flamme » et des excursions de chasse.
Les investisseurs qui ont acheté des flammes et des alpagas comme le bétail ne l’ont pas bien fait., Comme il n’y avait pas beaucoup de marché., Comme il n’y avait pas beaucoup de marché., Comme il n’y avait pas beaucoup de marché Aux États-Unis pour votre lait ou la laine. Les lobbyistes ont réussi à aider l’industrie au début des années 2000 en incluant des alpagas dans les déductions de l’article 179 visant à faire pousser de petites entreprises. Ces mesures, qui ont été prolongées en 2010 et restent en vigueur, Essayez l’achat d’alpagas en tant que tracteurs ou autres nouveaux équipements.
Quelles que soient ces incitations et la popularité culturelle des flammes, la propriété des flammes du territoire américain a diminué de près de 145 000 animaux en 2002 à moins que 40 000 en 2017. Alors que des flammes et des alpagas peuvent être trouvés dans tous les États, ses populations sont principalement concentrées en Arizona et dans le nord-est du Pacifique.
Cultur Comme les Andines ont à Landteen pendant de longues relations de réciprocité chez l’homme et les autres animaux. Comme les conclusions médicales suggèrent sur la flamme nanos, cette perspective peut être plus sage que les peuples autochtones sud-américaines auraient probablement pu imaginer.
Cet article a été traduit par le financier.