Les centres de chasse des étrangers sont vidés pour la première fois en trois décennies


Protest d’un groupe interne de la CIE de Aluche demandant sa libération le 17 mars.
Protest d’un groupe de détenus de stagiaires de la CIE d’ALUCURE demandant sa libération le 17 mars.Bernat Arangue / AP

Les sept centres d’internement des sept étrangers (CIE) et l’annexe tarifaire sont vides pour la première fois dans plus de trois décennies. Après une période sans nouveaux départs, ce mardi et mercredi ont été libérés les quatre derniers détenus qui étaient toujours bloqués au centre d’Algeciras. Trois avocats vétérans spécialisés dans l’immigration consultés ne se souviennent pas d’un précédent égal depuis 1985, lorsque le chiffre juridique de ces centres a été créé.

Le ministère de l’intérieur avait plus de 50 jours en liberté les détenus, une fois que cela Les restrictions frontalières imposées aux pays d’origine des immigrants ont rendu leur expulsion irréalisable. La loi justifie les revenus dans la CIE pendant une période maximale de 60 jours pour rendre l’expulsion des détenus. Sans chance de les expulser, comme l’ombudsman a averti et a ratifié plusieurs juges, l’enceinte perd son soutien juridique.

intérieur maintenu dès le début du décret d’alarme qu’il n’y avait pas de commandement généralisé pour vider les centres, Mais il a travaillé en coordination avec le ministère de l’État migratoire pour déplacer les détenus sans un endroit pour vivre dans un centre d’accueil. Dans certains cas, à l’intérieur libéré les inconvénients avant que le terme juridique ait été atteint, bien que dans d’autres, comme ce dernier, a optimisé sa libération.

Le processus a été dilué pendant près de deux mois et a été plus lent que social que social Les organisations exigent et l’ombudsman lui-même. Le 31 mars, un juge a ordonné l’expulsion de la CIE des Paumes de la Grande Canarie, en détectant « une contagion progressive » de coronavirus parmi les détenus. Le magistrat a justifié la mesure dans les conditions de « surpeuplement » des détenus et de l’impossibilité garantir l’isolement au centre. D’autres juges ont été autorisés avec des ordres individuels le départ de certains détenus.

À la fin du mois de décembre, selon Intérieur, les centres, avec 866 places disponibles, ont maintenu une occupation de 85%. La plate-forme CIES n’a pas célébré la libération de tous les détenus lors de l’examen de ces centres « incompatibles avec la règle ».

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