Le bureau du procureur français étudiera le scandale des violations présumées et Les violations signalées dans des structures fédératives du patinage artistique du pays, tandis que dans d’autres sports, d’autres tests d’agressions commencent à émerger.
Le Procureur de Paris, Rémy Heitz, a annoncé mardi dans une déclaration d’une procédure. Après la publication du livre d’expatriés Sarah Abitobol, dans lequel il a dénoncé d’avoir été violé par son entraîneur Gilles Beyer.
Les faits décrits par Abitoba ont réussi au début des années 90 et, par conséquent, ont prescrit criminellement, mais le Procureur veille à ce que « d’autres victimes qui ont pu souffrir de la même nature seront recherchées ».
montre que le livre expatisé Ra, bronze au 2000 dans le monde, peut casser le mur de silence qui existe dans le sport français.
Selon le journal Le Parisien, de son départ dans les librairies à la fin de la Le mois dernier, le nombre d’alertes qui ont atteint le ministère des Sports pour les abus sexuels ont augmenté « à un rythme inquiétant ».
L’enquête sur le bureau du procureur et sa recherche de nouveaux cas peut affecter d’autres sports. Abitoba elle-même a examiné ce mardi sur la télévision BFMTV que l’ouverture de la recherche grâce à son livre est une « bonne nouvelle » qui peut donner un sens à sa plainte.
Le expatrator a insisté pour que les responsabilités ne puissent pas limiter que pour votre entraîneur, qui a reconnu avoir eu des « relations intimes » qui se qualifie comme « inappropriée » quand c’était un enfant qui était sous sa tutelle.
Sarah Abitobol, ancien skatinat Instagram (Sarah.abitbol1975)
Les faits ont eu lieu lorsque l’athlète avait entre 15 et 17 ans et malgré ses plaintes alors Ils ne se sont pas traduits en conséquences pour Beyer, qui ont continué à occuper des positions importantes dans la fédération.
Pour cela, Abitob vise à la direction de son président, Didier Gailhaguet, au point de vue du ministère. des sports, dont le propriétaire, Roxana Maracinéanu, a demandé sa démission lundi et menaçait de prendre La fédération ses attributions officielles si elle ne quitte pas la charge.
pour l’expatruera, il est « impossible de ne pas savoir ce qui se passait, qu’il ne savait pas que cet homme (en référence à Beyer ) était dangereux. Et pourtant, il l’a gardé « .
D’autres athlètes disent également que Gailhaguet connaissait le comportement de l’entraîneur et ne l’a pas emmené loin de ses fonctions, même si même le ministère des Sports a pris le diplôme de l’entraîneur national pour le plaintes présentées contre lui.
Le titulaire de ce département entre 1997 et 2002 était le Buffet communiste Marie-George, qui soutient désormais qu’elles sont allées en justice, mais la poursuite n’a pas eu la même sensibilité qui a précédé avant Les plaintes d’abus sexuel.
Gailhaguet, d’autre part, se défendait des accusations et a déclaré que sa fédération n’avait aucun pouvoir d’exécuter des enquêtes qui lui permettrait d’agir.
La vérité est que de sa position de présidente, loin de séparer les entraîneurs présumés, il leur a donné des positions pertinentes, selon les médias.
Gailhaguet reconnaît des « erreurs » mais « sans crimes » et dans les prochaines heures il rassemblera son instanci Comme les fédéraux analysent la situation créée par la menace de suspension des fonctions lancées par le ministre.
Le journal L’Équipe a publié le jour 29 Plusieurs témoignages d’athlètes qui ont dénoncé avoir subi une violence sexuelle des entraîneurs.
Parmi eux se trouvaient les patineurs Godard, Béatrice Dumur et Anne Bruneaux, mais il y avait aussi des nageurs comme Elizabeth Douet, Frédérique Weber et Isabelle Chaussale, ou l’Isabelle Demongeot, ou l’Isabelle Demongeot, qui a contribué en 2014 à la conviction de son ancien Coach.