Les jeunes japonais ont commencé à expérimenter de la mode, ils voulaient avoir l’air tendre, adorable et drôle comme des idoles apparues à la télévision et aux magazines. Ils voulaient s’éloigner de la formalité et de la rigidité de la vie des adultes, s’exprimer et retarder le plus possible les obligations sociales qui les attendaient quand elles laisseront à l’école comme deviennent des épouses et des mères. Par conséquent, ils ont vu dans l’esthétique Kawaii, un moyen valide de continuer à sentir les filles, d’avoir mignon et d’admirer.
Les années 80 étaient l’âge d’or des groupes de groupe d’idoles dont les membres (principalement des femmes ) Ils ont chanté des mélodies de pop collante et douce avec leurs voix aiguës et leur tenue colorée Anniño remplie de lattes, d’arcs et de dentelles. Ce sont ces tenues qui inspireraient l’émergence de différentes modes et sous-cultures qui prendraient le charme de l’esthétique Kawaii dans le monde entier.
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couverture du magazine Olive, 1983.
en 1989, le magazine des adolescents Cutie a vu la naissance parmi ses pages l’émergence de styles tels que Lolita, Decora et Visual-Kei qui prendrait le concept de Kawaii au niveau suivant. Les magazines de la rue de rue sont devenus très populaires chez les jeunes et pouvaient voir des centaines de garçons qui donnaient un tour de kawaii à des fashions occidentales telles que grunge ou punk.
Mode japonaise des années 90
Le quartier de Harajuku est devenu alternatif La capitale de la mode au Japon et des centaines de jeunes sont allées dans leurs rues avec leurs tenues les mieux et excentriques selon l’espoir que les photographes des magazines de mode les représentent et deviennent dans les nouvelles idoles du moment. Vêtements dans des couleurs pastel, bas avec des empreintes, des robes courtes, des oversas, des pulls et des pulls oversize, des accessoires en plastique, des baskets de plate-forme et même des uniformes scolaires typiques de style marin (Seifuku) sont des exemples de vêtements à la mode et qu’aujourd’hui, ils sont considérés comme Kawaii.
Mode à Harajuku
Le monde Otaku tourne Kawaii
Les fans d’anime / manga et de jeux vidéo ont également été captivés par le phénomène kawaii. Au cours des années 90, les personnages de l’esthétique Kawaii ont envahi les pages des manches et des écrans de télévision. Des principaux personnages d’aspect animal, de grands yeux, de petits extrémités d’altération qui apparaissent dans Doraemon, Pokémon, Hamtaro, etc. Même les magnifiques protagonistes qui se battent contre le mal habillé de vêtements mignons comme dans Sailor Moon ou Cardcaptor Sakura.
fans bientôt popularisé termes tels que Chibi (mot qui fait référence à un enfant ou à un bébé, mais est utilisé pour décrire une version bébé d’un manga ou Caractère d’anime généralement utilisé à des fins de bande dessinée) Super démorfed ou SD (caractères qui sont dessinés avec une stature réduite et une augmentation de la taille de la tête qui apportent généralement des expressions amusantes) ou de la MOE (Argot qui fait l’origine des sentiments d’affection, Adoration, dévotion et même attraction sexuelle par un personnage d’anime / manga ou de jeux vidéo à plusieurs reprises de l’apparition de Kawaii comme des filles timides avec des lunettes, des cheveux courts, avec la personnalité de Tsudeere, etc.
Chibi esthétique caractères
La tendresse est comestible
Je ne passe pas beaucoup de temps afin que le fanatisme de Kawaii se déplaçait à la nourriture japonaise. Dans plusieurs pays asiatiques, le Bento est très populaire (paniers repas contenus dans un conteneur ou une boîte en bois). Les jeunes mères japonaises mériraient l’esthétique de Kawaii pour préparer des déjeuners mignons pour leurs enfants, élaborer toutes sortes d’animaux tendre ou de personnages de dessin animé avec des balles de riz, des bandes d’algues ou de petites saucisses.
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Kawaii esthétique bentos
Un autre culinaire de tendance inspirée du monde Kawaii est de la nourriture miniature. Récemment, des centaines de canaux ont émergé sur YouTube qui montrent comment préparer des plats à des échelles minuscules et de devenir virale pour hypnotiser le public avec leur charme.Les ramen, la tempura ou les sushis sont préparés avec de minuscules ustensiles conformes aux mêmes fonctions que les vraies. En fait, plusieurs marques de jouets japonaises commercialisent de très petits poêles qui sont vraiment légers, mini liquéfiers, petits poêles, etc.
La culture kawaii et son impact social
Obsession d’adorable se traduit par une évasion vers les impositions sociales de la vie adulte. Pour de nombreux japonais « Les années d’institut » sont les plus précieux de leur vie en appréciant de plus grandes libertés et surtout aux jeunes. En laissant leur école il y a des années, ils font face à une société hiérarchique où tout le monde doit remplir son rôle social, qui pour une fille qu’il représente devenir une bonne femme et une bonne mère, tandis que les hommes amusants en tant que fournisseurs qui doivent être de plus en plus graves au sein d’une société qui luttant toujours pour obtenir de meilleures rémunérations.
dans un pays où de moins et moins de jeunes veulent devenir un salaire stressé et des filles Dans les femmes au foyer, le style de vie kawaii leur permet d’allonger apparemment les étapes de l’enfance et de l’adolescence apparemment. Ce sont les filles qui ont plus d’attachement à la culture du beau depuis, ils ont été en mesure d’exprimer eux-mêmes avec une plus grande facilité et avoir amusant à travers la mode sans Soyez jugé.
Mode lolita et fée -Kei
Malgré les filles veulent échapper aux normes sociales imposées par leur culture, le style de vie kawaii continue d’évaluer les mêmes qualités telles que l’innocence, la fragilité et la pureté, ce qui oblige les filles à conserver une attitude et de dépendance soumises. La culture kawaii reflète également l’idéal d’une femme japonaise en tant que mince, ayant des caractéristiques fines et une peau claire pendant que sa personnalité doit être chaude, attentionnée, serviable et réservée à sa vie privée. Ce type de fille que nous la voyons représentait dans différents produits culturels cônes dans l’anime, le manga, les films, les idoles, les maigres de jeunesse, etc.
DROITS MAINTENANT Les autres fonctionnalités sont également considérées comme Kawaii, par exemple la personnalité Tsundere (terme utilisé pour décrire une personne Dont le comportement initial est impoli et hostile, mais en arrière-plan est sensible et sensible). Il est curieux d’observer alors que les filles tsundere malgré une apparence plus forte et courageuse, au fond, ils sont toujours la fille fragile et affectueuse que les Japonais adorent les deux.
Little à petit change le concept de masculinité lorsque identifier avec la culture kawaii. Ils ne veulent pas se convertir au travail au centre de leur vie et ne veulent pas toujours ressembler à un homme d’affaires épuisé. Les gars japonais veulent expérimenter la mode, s’amuser avec leurs loisirs et avoir une apparence fraîche et attrayante. C’est pourquoi ils ont adopté des modes esthétiques kawaii, ainsi que des comportements et des formes d’enfants de parler qu’ils les rendent mignons et tendre devant les filles. Pour la culture occidentale, ces jeunes ont une apparence androgyne ou efféminée en teinture des cheveux, utilisez le maquillage et l’utilisation de vêtements de tendance, mais pour les filles japonaises sont assez attrayantes et nous pouvons le trouver avec le succès actuel des groupes d’idoles masculins.
le phénomène kawaii en tant qu’outil gouvernemental
japonais lui-même a utilisé, au cours de la dernière décennie, l’esthétique Kawaii comme signe d’identité pour promouvoir une image plus attrayante et moderne du pays, avec le afin de promouvoir sa projection à l’étranger et de promouvoir son économie. Ses avancées technologiques, son manga, ses anime, ses jeux vidéo et ses esthétiques kawaii ont été essentiels dans ce que l’on appelle le Japon cool.
Yuru-Kyara est un type spécifique d’animaux de compagnie dont la conception est caractérisée par sa grande simplicité. Ils sont généralement créés par les gouvernements locaux ou d’autres institutions pour promouvoir le tourisme, la croissance économique ou la promotion d’une ville, d’une région, etc. Les 47 préfectures du Japon ont leur propre animal de compagnie et chaque année, un concours est détenu où la mascotte la plus populaire est choisie.
Les animaux de compagnie les plus populaires de chaque région Dans le Grand Prix de Yuruchara 2017
Le gouvernement japonais a mené des campagnes différentes pour promouvoir l’unité nationale et internationale utilisant le Yuru-Kyara. Par exemple, lors du tsunami et du désastre nucléaire de 2011, l’image de différents personnages a été utilisée comme propagande pour promouvoir des valeurs telles que la force et la fierté nationale. Dans le domaine de la politique étrangère, une campagne appelée projet qui se tient la main, qui a montré différents Yuru-Kyara, des personnages de la culture populaire asiatique et d’autres d’un caractère international comme symbole de la solidarité et de la fraternité avant les catastrophes de 2011 et une incitation à collecter des fonds au-delà des frontières du Japon.
campagne de projet tenant les mains
Le phénomène kawaii est tel que depuis 2009, le ministère des Affaires étrangères du Japon a nommé trois représentants de la culture populaire japonaise (un représentant de la mode Lolita, une autre mode de Harajuku et une autre école japonaise de la mode) comme « Ambassadoras Kawaii » afin d’exposer ceci Trend au monde et donner une perception moderne, amusante et amicale du pays asiatique. La culture kawaii est devenue un outil gouvernemental japonais fiable pour promouvoir sa culture populaire et garantir la bonne réception à l’étranger, cela a fasciné des millions de personnes dans le monde entier avec l’une de leurs expressions multiples.
Tarō kōno nomme pikachu comme ambassadeur pour promouvoir la ville d’Osaka.
Pour en savoir plus:
CuTités de l’article au Japon par Sharon Kinsella: http://www.kinsellaresearch.com/new/Cuties%20in%20Japan.pdf
de Hello Kitty « > 8B5A5370A » à COD ROE KewPie: Un antécédents culturels postwar de la gentillesse au Japon http://aas2.asian-studies.org/EAA/EAA-Archives/14/2/843.pdf