Jean Oitard

a grandi sous la tutelle de son oncle, canon de la cathédrale de Riez. Il a commencé ses études dans cette ville, en les poursuivant à Marseille. Selon les souhaits de son père, il travaillait initialement sur la banque, mais il avait des difficultés et retourna à Riez. Pendant la guerre, il travaillait dans un hôpital militaire, où il passionné de la médecine. Il a étudié la course et était un doctorat à 1801.

Lorsque l’enfance ou l’enfant sauvage d’Aveyron est arrivé à Paris à la fin du XVIIIe siècle, entouré de bonne publicité et d’attente, Iardard était très intéressé par son Le cas, dans le cas, il a vu la possibilité d’contraster de manière empirique les idées philosophiques et anthropologiques de son temps en matière de nature humaine et de relations entre la nature et la culture dans les êtres humains. Il a proposé un plan visant à rechercher sa réhabilitation et son incorporation dans la société, plan que ce soit accepté, malgré le scepticisme des autres médecins. Aussi subventionné par le gouvernement français, au cours des cinq prochaines années, il a été intensément dédié à cette tâche. En conséquence, il a élaboré deux rapports importants sur le sujet, publié un en 1801 et l’autre en 1806, modèle de rigueur méthodologique et de clarté d’exposition.

malgré son insatisfaction par les résultats obtenus avec Víctor ou Peut-être précisément à cause de cela, le reste de sa vie était intensément dédié à l’éducation des sordomemboudoses et aveugles à l’institution Impériale des Sourd-Mudets, dont il était un médecin en chef. Il a promu la création de centres spécialisés pour l’attention des personnes touchées par ces personnes concernées et d’autres personnes handicapées, étant un pionnier de l’éducation spéciale. Il a établi les bases de la méthode de lecture en braille pour les aveugles. En 1821, il a été élu membre de l’Académie de médecine et a publié son Traité des Maladies de L’Oreille et de l’audition.

Jean Marc Gaspard Iardard décrit pour la première fois l’état d’une femme noble française de 86 ans avec le syndrome de Tourette.

iardard est mort en 1838.

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