Fire (2010)

15 novembre 2019

Film et audiovisuel / Cinéma Club

Informations complémentaires au cycle Cinéma de 21e siècle (V): Denis Villeneuve. Cycle que la salle de classe cinéma cinéma / film, le cinéma et la région audiovisuelle de La Madraza, nous propose au cours du mois de novembre, ainsi qu’une session spéciale la première semaine de décembre, tous les mardis et vendredi, à 9h00, dans la chambre maximale de l’espace et du centenaire. Les films seront projetés dans la version originale, avec des sous-titres en espagnol et l’entrée d’eux est libre jusqu’à la fin des capacités. Bien que dans cette salle et pendant les projections, il n’est pas autorisé à manger ou à utiliser des appareils mobiles. Nous vous remercions de votre collaboration.

  • Denis Villeneuve Présentation.
  • Août 32 sur Terre (1998).
  • Maelström (2000).
  • Polytechnic (2009).

Deux histoires parallèles

En mourant, Nawal (Lubna Azabal) part établie comme la dernière volonté de son testament que ses enfants jumeaux, Jeanne (Mélissa Démeaux-Poulin) et Simon (Maxim Gaudette), cherche son père, qui croyait mort, et son autre frère, qui N’avait pas de nouvelles, de leur donner une enveloppe à chacune d’elles avec une lettre écrite par elle. C’est le principe de la chaussure de feu, quatrième long métrage de la Villeneuve Toujours intéressante, basée sur le travail théâtral réputé de Wajdi Mouawad. Villeneuve construit des incendies dans un schéma narratif centré sur deux histoires parallèles: la recherche de Jeanne autour de sa mère et de sa visualisation de ce qui découvre sur elle, cherchant parfois à créer des obligations entre une histoire et une autre, comme, par exemple, montrant ce qui est arrivé à Nawal dans le même espace dans lequel Jeanne est trouvée. De cette façon, nous apprenons à connaître la vie de Nawal à travers et seulement avec ce qu’il découvre sa fille.

Nawal est raconté avec d’énormes sauts temporaires, laissant dans l’obscurité parfois ce qui s’est passé entre un moment et un autre. Au cinéaste ne l’intéresse pas tellement de tout montrer de tout montrer et que ce qui est vraiment pertinent pour comprendre quelle était une femme, Nawal, qui commence à se révéler comme une personne étrange pour tous ceux qui la connaissaient dans ses dernières années. Arrivée au Canada commencera une vie « normale », bien que son caractère, quelque chose d’introspectif, implique, par exemple, que ton fils Simon soit abandonné au début de sa dernière volonté. Selon Jeanne qui avance dans son enquête, il trouvera que son La mère a rampé un passé plein de problèmes personnels qui ne sont pas d’autres que ceux qui secouent tous les jours, et déjà historiquement, le Moyen-Orient. Jeanne découvre comment sa mère, de sa jeunesse, devait traiter de quelques problèmes de racine religieuse. La question chrétienne, juive et musulmane du territoire est individualisée dans la figure de Nawal pour cartographier certains éléments constitutifs desdits conflits.

Un aspect général des problèmes du Moyen-Orient

Qu’est-ce qui est plus frappant et enrichissant en feu est l’absence d’un discours clair et emphatique, mais à son tour de ne pas tomber en excès mélodramatique. Il y a une certaine distance avec ce qui est raconté, Mais il n’est pas compliqué de ressentir différentes émotions à certains moments. Les incendies s’ouvrent peu à peu de son centre narratif pour créer un collage d’histoires qui, à l’arrière-plan, ne sont rien de plus d’un. Villeneuve, comme il a déclaré, ne place pas le conflit à un point exact du Moyen-Orient, avec cela, la nécessité de se positionner clairement, même si une procédure assume une position politique assez claire. Par conséquent, dans différents commentaires sur le film, il est indistinctement du Liban ou de la Palestine comme des cadres spatiaux d’une grande partie de l’action; Et d’une certaine manière, ceci est: un pays et un autre, ainsi que tout autre territoire, pourrait être le cadre de l’action. Ce manque de concrétion spatiale qui universalise, peut-être en excès selon un certain point de vue, les approches narratives, cherche à dessiner un problème général, presque abstrait, religieux et politique du Moyen-Orient.

Sans cependant, Cette vision est donnée par une histoire personnelle et générationnelle sur l’identité personnelle, sur ses changements conditionnés par les circonstances, sur lesquels les éléments constituent et, parfois, sur la manière dont certaines expériences ou expériences impliquent u besoin d’autres formes d’identité comme le seul moyen de survivre .Également sur la mémoire, sur l’existence, sur l’ignorance qui peut exister sur la vie de ceux qui nous entoure, sur les mécanismes complexes qui façonnent une vie, sur la nécessité ou la viabilité, de récupérer des histoires individuelles pour comprendre quelque chose de plus général, quelque chose de plus complexe .

Comme Jeanne, qui ne découvre que si sa mère était une femme beaucoup plus complexe qu’elle ne la pensait que son passé est plein de moments de douleur et qu’aujourd’hui, il reste encore celui qui s’en souvient Dans son pays d’origine, pour le bien ou pour le mal, le spectateur doit également effectuer une tâche de reconstruction et d’approches.

Fermeture

L’un des meilleurs exemples de la manière dont une nouvelle forme de cinéma politique peut être dessinée ou conçue du cinéma comme un véhicule politique sans l’automne dans les discours (à la fois idéologiques et cinématographiques). et hypocrisie étendue da.

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