El Virus JC Y LAUCOENCEFALOPATÍA PROGRESIVA MULTIFOCAL: Implicaciones en El TRATAMIENTOACTUEL DE LA ESCLEROSE MúLTIPLE

Introduction: Le traitement de Natalizumab s’est révélé très efficace dans les essais cliniques et très efficace dans la pratique clinique dans Patients ayant recours à la sclérose en plaques en plaques, en réduisant les rechutes, ralentissement de la progression de la maladie et en améliorant les modèles d’imagerie de résonance magnétique. Toutefois, le médicament a également été associé à un risque de leucoencéphalopathie multifocale progressive (PML). La première déclaration de consensus sur l’utilisation de Natalizumab, publiée en 2011, a été mise à jour pour inclure de nouvelles données sur les procédures de diagnostic, la surveillance des patients en cours de traitement, la gestion de la PML et d’autres sujets d’intérêt, y compris la gestion des patients interrompant Natalizumab.Material et méthodes: cette option La version mise à jour a suivi la méthode utilisée dans le premier consensus. Un groupe d’experts espagnols dans la sclérose en plaques (auteurs du présent document) a examiné toute la littérature actuellement disponible sur Natalizumab et identifié les sujets pertinents aurait besoin de mettre à jour en fonction de leur expérience clinique. Le projet initial a adopté des cycles de révision jusqu’à la version finale. Résultats et conclusions: les études de pratique clinique ont démontré que la modification de Natalizumab est plus efficace que la commutation entre les immunomodulateurs. Ils favorisent le traitement précoce avec Natalizumab plutôt que d’utiliser Natalizumab dans une phase ultérieure en tant que thérapie de sauvetage. Bien que le médicament soit très efficace, ses effets indésirables potentiels doivent être pris en compte, avec une attention particulière aux chances du PML du patient. Le neurologue doit préciser soigneusement les risques et les avantages du traitement, les comparant aux risques de sclérose en plaques en termes que le patient peut comprendre. Avant le traitement, des tests de laboratoire et des images de résonance magnétique doivent être disponibles pour permettre un suivi correct. Le risque de PML devrait être stratifié comme élevé, moyen ou faible en fonction de la présence ou de l’absence d’anticorps anti-virus anti-JC, d’historique de la thérapie immunosuppressive et de la durée du traitement. Bien que la présence d’anticorps anti-virus anti-JC soit une constatation importante, elle ne doit pas être considérée comme une contre-indication absolue pour Natalizumab. Cette mise à jour fournit des recommandations générales, mais les neurologues doivent utiliser leur expertise clinique pour fournir un suivi personnalisé pour chaque patient.

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