Nous offrons rarement un spectacle tel que la chasse! Nous sommes confrontés à une bande d’humour noire qui distribue l’Esto dans toutes les directions, gérant une fable brutale sur le monde polarisé dans lequel nous vivons.
Pour cela est pris de la mignon de tout le spectre idéologique décapant les élites de tous les élites son halo de supériorité morale mais sans frauder soit au moment de la caricaturiser le « côté » opposé. À la fin montre la tendance dangereusement de la Fratricida Asola à la société américaine … et qu’elle est extrapolée à de nombreux autres points du globe.
Le film commence par une manière un peu anodine qui, au début, il fait d’abord Nous pensons que nous allons faire face à une autre horreur manuelle de survie. Onze étrangers éveillés dans la clairière d’une forêt avec de nombreuses questions sans réponse. Où sont-ils? Comment sont-ils arrivés là? Et pourquoi ou pour quel but existe-t-il?
La réponse à toutes ces questions est « Chasse », un jeu macabre conçu par des membres des élites mondiales, qui se rencontrent pour chasser l’homme par amusement. Ils sont la proie; le reste, les chasseurs.
Mais tout est sur le point de changer quand Crystal (Betty Gilpin), une des femmes qui figurent parmi les « chassées », lui donne le retour à la Jeu et commencer à incliner la balance en votre faveur. Un par un, il commence à se débarrasser des membres de l’élite qu’il a l’intention de chasser, avec l’intention d’atteindre la femme mystérieuse qui déplace les fils.
Nous trouvons bientôt de bons visages: Emma Roberts ( Paradise Hills), Ike Barinholtz (#Seexpact) ou Justin Hartley (revanche) Sont candidats à star dans l’histoire, mais sa capacité à rester en vie sera très limitée … La première surprise est qu’ils tombent tous de la manière la plus sanglante possible; La seconde est que, loin d’élever le discours habituel des victimes et des bourreaux, Nick Cuse et Damon Lindelof twitt le script, le prenant à la caricature.
La construction narrative similaire ne serait pas disputée sans enfin finalement Il y avait une voix chantante qui a été faite avec le spectacle et c’est le moment où le personnage se concentre sur Betty Gilpin (lueur), qui effectue un travail sensationnel incarnant une femme crue, individualiste et pragmatique qui n’est pas disposée à tomber dans les pièges couché pour finir. Et c’est une boîte de surprises, pour le bien.