pendant quelques jours, l’eau touche le dernier grand projet révolutionnaire de la voile océanique à Solo: le charal. C’est le premier navire de la classe IMOCA 60 avec des feuilles qui voit la lumière et qui inaugure une nouvelle étape dans la navigation dans les cinq océans.
Après 13 mois de travail intense dans les chantiers navals CDK, la voilier du charal Affiche les attributs d’une nouvelle génération de voiliers imoca60 où à partir de tout ce sera différent. Son grand volume mondial, comparé aux modèles précédents, ou sa dispate dans une forme arrondie montrent les changements de ce travail de navire de l’étude VPLP. Il est le plus proche d’un multidiffusion qu’un monocoque.
Jérémie Beyou, troisième dans la dernière édition du Vendée Globe, ce sera le modèle de ce navire qui jouera le prochain tour du monde seul et sans échelle en 2020.
« Nous savons que le bateau que nous voyons aujourd’hui ne sera pas le même que celui qui jouera au globe. Nous avons deux ans d’avance pour transformer cette imoca, la première conception avec des feuilles, dans une véritable fusée pour le Vendée Globe », Faits saillants Le directeur technique, Pierre François Dargnies.
Après plus de 70 000 heures de travail, le charal peut atteindre des vitesses supérieures à 40 nœuds. Pour cela, le bateau a un vélo de 1,185 mètre carré équivalent à six courts de tennis.
Jérémie Beyou: « Nous avons un casque très novateur qui ressemble plus à un navire de guerre qu’un voilier de compétition. Dans le coach zone, beaucoup a été simplifiée pour réduire la quantité de carbone et a également gagné dans l’habitabilité intérieure du casque », déclare le motif de Jérémie Beyou.
Parmi les plans sportifs de l’équipe, son intention de La campagne 2018 se concentre sur la prise de jeu dans la route du Rhum contestée en novembre. En outre, en 2019, un nouvel événement de la Série IMOCA GLOBE qui peut avoir un port de base à la ville de Valencia est programmé.