Qu’est-ce qui conduit une adolescente à agresser ses compagnons? Toutes les agressions répondent-elles à la même motivation? Il existe une ligne d’intervention pédagogique unique?
Considérant le critère de fonctionnalité, les comportements violents répondent à deux types de motivation: d’une part, la nécessité de répondre à une pré-agression réelle ou imaginaire, appelée violence réactive; Et d’autre part, le désir d’obtenir des avantages personnels, sociaux ou matériels utilisant la violence en tant que médium, il est donc appelé la violence instrumentale.
La violence réactive est associée à des niveaux élevés d’impulsion; difficulté à contrôler des sentiments tels que la colère; Déficit dans l’interprétation des situations sociales et développement rare des compétences sociales.
En ce qui concerne la violence instrumentale, les études réalisées ont été axées presque exclusivement sur les manifestations du harcèlement ou de l’intimidation. Bien qu’il soit vrai que le harcèlement est l’une des manifestations de la violence instrumentale plus dévastatrice et inquiétante pour toute la société n’est pas inférieure au fait qu’ils ne sont pas les seules agressions dans lesquelles j’inspue à la violence.
Cette situation La prévalence de l’intimidation par rapport aux autres actes de violence instrumentale provient une série de divergences à la fois dans la caractérisation des agresseurs instrumentaux et de la création d’une tendance au comportement. L’impulsivité est l’un des aspects dans laquelle ces divergences sont en évidence. Alors que certains auteurs considèrent que les agresseurs instrumentaux sont froids et manquants d’impulsivement, d’autres auteurs se manifestent dans la direction opposée caractérisant ces agresseurs avec un niveau d’impulsivité élevé.
L’étude réalisée en ce qui concerne la relation entre impulsivité et la violence, à la fois réactive et instrumentale, met en évidence la relation étroite entre les deux aspects.
Tableau 1. Comparaisons multiples. Violence réactive
Comme nous l’apprécions dans le tableau 1, la capacité de planification est nettement inférieure dans ces adolescents qui manifestent le plus haut niveau de violence réactive bien que entre le niveau de moyenne ou la faible intensité, il n’y a pas de différences significatives. Dans le cas de la capacité de retarder les gratifications, nous apprécions qu’il s’agissait de manière significativement plus faible, plus l’intensité de la violence réactive.
Tableau 2. Comparaisons multiples. La violence instrumentale
Lorsque la violence est de type instrumental, les données énoncées dans le tableau 2 indiquent que la capacité de planification et la capacité susmentionnée à retarder la diminution nettement augmente le niveau d’intensité de ce type de violence.
Nous pouvons donc conclure que l’impulsivité, analysée de la capacité de planification et la capacité de retarder les gratifications, est un élément commun aux deux types de violence afin qu’il ne constitue donc pas un différentiel d’aspect.
le Les résultats de cette recherche sont pertinents non seulement par ce qu’ils supposent approfondir dans la connaissance de la violence scolaire, mais par leur impact sur la conception des plans d’intervention éducative concernant le Violence.
Mª José Velasco Gómez. José Luis López Aranguren. Fuenlabrada, Madrid, Espagne.
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