Arbitrage de la Chambre de commerce internationale

De nos jours, la voie normale de résoudre les litiges commerciaux internationaux est l’arbitrage international. C’est dans ce contexte que la Cour internationale d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale est née en 1923. Elle est reconnue comme la principale institution d’arbitrage. Le règlement proposé est l’un des plus utilisés dans le monde.

L’arbitrage consiste en une résolution de litige par l’intermédiaire d’un ou plusieurs arbitres élus et impartiaux par les parties . De cette manière, il est évité de soumettre la controverse aux tribunaux avec les conséquences qui dirigeraient (retards et charges de procédures controversées de l’État).

Ce type de règlement des différends est celui qui convient le mieux aux besoins de Transactions commerciales internationales Comme il propose un processus transparent et confidentiel, rapide et flexible.

Le processus se termine par une pente arbitrale, émis par l’arbitre met définitivement la controverse et qui a une autorité de la matière. Ce prix ne sera susceptible de faire appel et présente les avantages de la convention de New York de 1958e. C’est-à-dire qu’il sera exécutoire dans les 145 États membres de la Convention.

Il est recommandé que les parties Souhaitant résoudre ses controverses par l’arbitrage de la CPI établir une clause d’arbitrage dans son contrat. Ainsi, toutes les controverses pouvant survenir par rapport à ce contrat seront résolues à la suite des règlements d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale. La clause type serait la suivante:

Toutes les controverses résultant de ce contrat ou qui sont liées à cela seront définitivement résolues conformément aux règlements d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale par un ou plusieurs arbitres nommés selon Ce règlement.

Les parties sont libres d’adapter la clause de soumission à l’arbitrage à leur situation particulière. Ils peuvent choisir le nombre d’arbitres, la langue de l’arbitrage, le lieu d’arbitrage et la loi applicable au fond du litige.

Les parties doivent également vérifier les facteurs pouvant affecter la force exécutive de la Clause en vertu de la loi applicable, en particulier aux règles impératives du lieu d’arbitrage et de la place ou des lieux dans lesquelles l’exécution du prix est capable d’être demandée.

Paris, où le tribunal international est située à l’arbitrage de la Chambre de commerce internationale, c’est l’un des endroits bénéficiant d’une législation très favorable.

Arbitrage du CCR, qui est applicable à la fois des litiges de quelques milliers d’euros et celles de Des millions d’euros sont accessibles à toutes les entreprises grâce aux bailleurs de fonds tiers.

La nouvelle procédure abrégée

En vigueur depuis mars 2017, cette nouvelle procédure est automatiquement applicable au litige dont une quantité inférieure à deux moulins est en jeu Ceux de dollars. Il vise à offrir une forme de résolution efficace et rapide, en diminuant le coût de la procédure arbitrale.

est idéal pour les cas où le chiffre en jeu ne justifie pas les dépenses associées aux processus litigieux les plus longs ou lorsque la Les parties ont besoin d’obtenir rapidement une décision définitive et d’exécution.

Cette nouvelle procédure réduit les délais dans lesquels le prix doit être dicté et réduit les coûts financiers (les frais des arbitres sont réduits de 20%), rendant L’arbitrage le plus attrayant pour le litige modeste, qui représente actuellement près du tiers des cas soumis à l’arbitrage de la CCI.

Bien que le litige dépasse deux millions de dollars, les parties peuvent opter pour ce processus accéléré De la même manière, bien que le litige soit inférieur à deux millions de dollars, les parties peuvent décider d’aller au processus classique s’ils estiment que l’affaire nécessite des diligédents particulières.

pour les controverses qui suivent le processus accéléré, Il privilégie la résolution via un arbitre unique et le processus éclaire au maximum. C’est-à-dire qu’il n’est pas nécessaire d’établir la loi sur la mission, les nouvelles demandes sont limitées une fois que le tribunal arbitral a été constitué, les mesures pédagogiques sont réduites aux méthodes de communication strictement nécessaires et modernes. En outre, la Cour peut se prononcer sur des preuves sans publicité ni écouter d’experts ou de témoins. Cela permet au tribunal arbitral de dicter une résolution définitive et non reliée après six mois et quinze jours de la présentation initiale de la demande.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *