d’ici la fin de cette année, le ministère de la Santé (MINSA) aura investi 160 millions Semelle en matière d’entretien de ses établissements, il a annoncé le titulaire du secteur, Hernán Garrido-Lecca, après avoir envisagé qu’avant une culture de la maintenance préventive n’était manquée, mais les besoins ont été évalués et ont une vision claire des exigences.
Le ministre a souligné que, pour la première fois, certains paramètres nécessaires pour récupérer l’infrastructure des établissements ont été raisonnablement calculés, ce qui a permis de préparer un programme de manière à ce que 189 millions de semelles par an soient allouées pour les dix prochaines années. Le maintien de l’infrastructure.
Cette évaluation a été demandée au début de sa gestion et handicapée que 28% des établissements de santé du secteur nécessitent un renouvellement ou une REHA Bilitation.
Au cours d’une cérémonie de célébration pour la journée du technicien de maintenance, Garrido-Lecca, a indiqué qu’un pourcentage des ressources de la canon minière peut être utilisé pour maintenir l’équipement et l’infrastructure.
Cependant, il a précisé que davantage de ressources économiques ne sont pas toujours nécessaires, mais plus de ressources économiques, car lors des différentes visites qu’il a apportées, dans plus de 300 établissements de santé, il a pu observer. Nettoyage.
Il a rappelé que l’une des rares exceptions près était au centre de santé d’Ilave (Puno), où tout était très propre et a été étonné que cet établissement a réussi à réduire la mortalité maternelle à zéro.
dans ce rendez-vous a été annoncé que la MINSA créée le 23 septembre en tant que «jour du technicien de maintenance», que le directeur de la Direction générale de l’infrastructure et de la maintenance, Luis Sifuentes, qui a souligné que la première fois de Minsa Toria qui sont allouées de ressources significatives pour cet article.
Dans cette célébration, le ministre a reconnu que le personnel travaillait dans ces domaines, qu’il considérait comme « les gardiens des économies des Péruviens, car Ils ne défendent pas l’argent du gouvernement, mais l’argent que les Péruviens ont investi dans plus de 50 ans. «