Parfois, on pense que ceux qui souffrent de la schizophrénie ont Traitement des compétences mentaux plus bas, mais c’est vraiment le contraire. Pour le découvrir, les scientifiques ont étudié le mouvement des yeux dans un groupe de personnes schizophréniques et d’autres non. C’est que le cerveau traite différemment les mémoires et les informations lorsque les yeux se déplacent. Il a été découvert que ceux qui souffrent de la schizophrénie ont tendance à se concentrer beaucoup plus dans l’espace entourant un objet qui est au centre de la vision. Il sert à soutenir certaines théories qui parlent de la supercapacité des schizophréniques dans le traitement mental.
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Schizophrénie est lié à la zone cérébrale qui traite le cannabis
On appelle communément Système endocannabinoïde dans la zone cérébrale où il y a une plus grande concentration de récepteurs de cannabinoïdes, également liée à l’émotionnel et à l’apprentissage. L’étude de ces récepteurs a conduit à un questionnement pour maladie mentale.
Ceci a été découvert que le cortex préfrontal moyen et le groupe basolatéral de l’Amigdala ne sont pas seulement sensibles au cannabis dans le cas de la réglementation émotionnelle, mais qu’ils sont affectés dans le cas de la schizophrénie. Le cannabis a également une relation avec la dopamine, ce qui est fondamental dans l’étude de cette condition.
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Les schizophrènes ont moins de libido
Dans une étude de 2014, la sexualité d’un groupe de schizophrènes a été comparée à un groupe de personnes sans la maladie et il a été découvert que les premiers ont une quantité plus faible de relations sexuelles. Certains hommes traités avec des médicaments ont des problèmes de maintien des relations et que tout le groupe a plus de chances de développer des tendances psychoexuelles négatives.
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Les schizophrènes ont moins de contrôle sur l’appétit
pour effectuer cette recherche, scientifiques de l’université de Montréal comparé des patients présentant d’autres maladies, également médicamenteux et patients schizophréniques. Il a été montré que seuls ces derniers ont des réponses cérébrales spécifiques dans le parapocampe, le Thalamus et le support de frontal moyen de la stimulation de l’appétit. Tout cela attaché à des médicaments antipsychotiques conduit à un contrôle moins appétit et à une sensation de la faim supérieure.